Ah ben Bravo!(Pv Baharie)

Il faut que j'avance.Ma conscience me dictait ma conduite alors que j'avancait tant bien que mal!Non mais ou va le monde aujourdhui pourquoi ces imbécile on crée un endroit comme celui-ci?Peut être pour mourir,ouais plein de sueur!On n'est pas du meme avis que vous lorsqu'on veut mourir!Je leva la tete et admira le paysage brun de toute son étendu.puis une pensée me vînt ou j'allais comme sa.

Flash Back

Le son des gazouilli des oiseaux,mauvais signe,le cris des
éléphants,également mauvais signe.Je fronca les sourcils et baissa la tete:Encore un lever de soleil de manqué.Je m'étira essayant de ne pas réveiller les autres lions qui faisait un bruit assourdisant en ronflant.Sans faire exprès je mis le pied sur le ventre d'une lionne qui se réveilla en sursaut et me grogna après.Je me contenta de froncer les sourcils et de la fixer avant de me diriger dehors.En sortant le soleil m'aveugla mais je finis,après quelque minutes à m'habituer.Le paysage se matin là était radieux.Un coin brun attira mon attention.Je ne l'avais pas remarqué avant aujourd'hui.Je jeta un bref coup d'oeil en arrière de moi et je m'y diriga avec hâte,j'était et je suis un lionceau très aventurier.Je courais de plus en plus vite pour m'y rendre le plus rapidement possible.Après quelque minutes gaspillé j'arriva à l'endroit.C'était un énorme étendu de brun pâle à la couleur du produit digestif.Je me mis à marcher pour essayer de me rendre le plus loin possible.Après environ une dizaine de minutes plus tard,le vent étragement se mit à monter et à monter et je sentais des coups de vents et je recevais du sable.Je me retourna et c'est la que je vîs une mini-têmpete qui prenait la forme d'un tourbillon.Je me mis à crier et à courir comme un malade.La têmpete me suivait comme si elle était une mine et qu'elle avait choisis sa cible.Je chercha des yeux,des arbre un rocher,n'Importe quoi!.Je vis rapidement un rocher qui heureusement était assez gros pour me protéger,donc avec un saut.Je me propulsa derrière et un gros boum suivit après.Je leva la tete pour ensuite voir que la tempete était finit.

Voilà ou j'en était,j'avais affronté une tempète et j,avais réussi maintenant faudrait que je retourne au rocher chose difficile.Je marchais éssouflé.Un bruit me fît relever les oreilles et me retourner je fixa la source.

Baharie avait passé la journée à se promener seule sur le territoire de la terre des lions. Elle s'était réveillée le matin près d'un étang où elle rencontra un lion assez séduisant. Puis elle traversa la savane, seule comme à son habitude. La journée était chaude et sèche, elle dut souvent s'abreuver dès qu'elle put à un point d'eau potable. Mais son ventre commença à gargouiller due à la faim mais elle ne vit rien qui pourrait assouvir son estomac. Elle reprit sa marche en se tournant vers des lieux où elle n'avait jamais mis les pattes.
Elle arriva devant une grande plaine jaune bruni. Le sol était sec, chaud et granuleux. C'était bizarre, elle avait jamais vu cette terre mais peut-être trouverait-elle une nouvelle terre, de nouvelles têtes. Elle commença à alors à courir et à galoper sur le haut des dunes qu'il se trouvait sur son passage. Mais plus elle courait, plus elle se fatiguait et une impression horrible s'emparait de son esprit, l'impression d'être perdue et seule. Elle commença alors à paniquer et s'arrêta pour chercher une direction susceptible de lui faire retrouver le chemin. Mais aucun coin d'ombre pouvait la ranimer des mirages et le soleil tapait fort. Elle marcha, la bouche ouverte haletant la moindre bouffée d'oxygène fraîche. Elle ne regardait pas trop devant elle, ses yeux se fatiguaient avant elle mais elle continua quand même à marcher. Elle arriva au sommet d'une dune, elle pouvait voir tout le désert et s'est fait une raison: qu'elle était perdue. Elle était à bout, plus de force, plus de conscience. Alors elle leva lentement la patte pour descendre la colline mais fit une chute due à la fatigue et tomba en faisant milles et une roulade et le sable brûlant lui frotta la peau et l'érafla le visage. Elle se trouvait étendue en bas de la colline, insconciente et à la mercie de charognards en tout genre.

» Baharie